09 avril. Photos 01-09 avril.
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Le mois de mars s’est imposé comme un mois froid et humide avec des températures bien inférieures à la normale. Cela a entraîné des matinées de brume très dense, de la pluie abondante et même de courts blizzards de neige occasionnels. Voilà donc, on attend encore le printemps! et puis on a pris quelques douches.
NON, cette température exécrable n’arrête nullement les braves que nous sommes. Ni le vent, ni la pluie n’empêchent les sorties au grand air car, pensez-y le mois de mars nous ramène beaucoup d’oiseaux! Alors on ne va surtout pas manquer le passage des premières formations de milliers d’oies, de centaines de grues, de dizaines de cormorans et de cygnes chanteurs qui quadrillent notre ciel de mars. On ne voudrait pas non plus manquer les premières cigognes qui retrouvent leur nid, les avocets qui reviennent à Falsterbo, les nourrissons hiboux qui réclament leur repas, et les oiseaux percheurs qui chantent leurs premiers chants amoureux! Non, non, non, alors au diable les cannes en mars, on dépoussière la caméra et on sort.
Vitement les photos d’oiseaux qui adornent en mars leur splendide plumage nuptial; le jaune du bruant jaune tel un jaune d’oeuf, le blanc immaculé des mouettes, les gris, blancs et noirs des sittelles franchement contrastants, le plumage des vanneaux huppés iridescent, les grimpereaux en habit camouflage… bref, c’est à ne pas manquer. Le mois se ferme par une absence bien remarquée dans la galerie de portraits: le fameux martin-pêcheur se laisse encore désirer malgré quelques tentatives très matinales en mars. Ah, quel sera mon plaisir! /JD.
MARS Nix the canes! Read More »
Un peu après avoir recu les bonnes nouvelles concernant la potence, Dave me donne pas mal un avant goût de ce que mon vélo pourrait avoir l’air une fois terminé, une sorte de vue dans le futur. Et des choix à faire. C’était vraiment impressionnant (pour moi) de voir en quelque sorte ce que mon vélo pourrait avoir l’air. Je vous laisse lire et regarder ce que Dave m’a envoyé.
Salut Yvan ,
Cadre et pneus
Je t’envoie quelques photos d’un des vélos que j’ai retapé. C’est un vélo dont le cadre était mort et je l’ai refait.
Mon vélo de Vancouver. 7 Février 2020 – étape 2 Read More »
Ça va bien. On s’est laissés il y a quelques jours avec une grosse question autour de la potence qui était complètement gelée dans la fourche par la rouille.
Et bien aujourd’hui je reçois un court courriel….”Potence OK”. Wow et youppi encore une fois des bonnes nouvelles. Dave a réussi, avec beaucoup d’acharnement j’en suis convaincu, à séparer la potence de la fouche. Et des photos bien sûr!
Mon vélo de Vancouver. 7 Février 2020. Read More »
Voilà que je me suis finalement décidé à ećrire un article pour garder des souvenirs précieux (en tous cas pour moi) du vélo que j’ai depuis nos années à Vancouver (1989-91).
J’ai acheté ce vélo en 1989, en vente (mmm un peu radin). La grandeur était parfaite pour moi et surtout les composantes de super bonne qualité. Tout en Shimano 600. Le cadre Nakamura m’était inconnu mais bon en “chromoly” ce qui était à ce moment là pas mal ce que tous les manufacturiers de vélos utilisaient. 23″ pouces, parfait pour moi à 5′ 10″. GO!
Après plusieurs “rides” à Vancouver (même quelques compétitions de biathlon), à Burlington et à Älmhult (Ikea City ou le big Ä), le vélo avait fait le tour de la planète et était devenu un peu rouillé (pluie oui, mais sueur aussi). En plus il craquait un peu en descendant les côtes et je commençais à en avoir un peu peur. Il avait besoin de pas mal d’amour. J’aimais bien les composantes…alors je me disais peut-être que je pourrais me trouver un nouveau cadre.
Une visite à la boutique de vélos “La mise au point” à Rimouski était nécessaire pour faire un ajustement sur le Rocky mountain de Julie. En se rendant là, j’ai rencontré des gens super sympatiques qui ont fait les ajustements nécessaires sur le champ et en passant….
– vous auriez pas un vieux cadre 23″ à vendre?
– un cadre? pourquoi? Dave m’a répondu….
Et de fil en aiguille mon nouvel ami Dave me dit qu’il pourrait regarder mon vélo de plus près et voir si le cadre a vraiment besoin d’être remplacé. C’est le début d’une simple question qui se termine en vélo pratiquement flambant neuf, super brillant avec des accents en cuivre. Tout est parfait pour reprendre la route!
Les lignes qui suivent relatent les conversations par courriel (presque intouchées) et plusieurs photos qu’on s’est echangées durant l’hiver 2020. C’est surtout un souvenir pour moi mais peut-être que c’est intéressant pour d’autres aussi?
4 fevrier 2020, un courriel de Dave…youppi! En italic ce sont mes commentaires.
Oui oui …. je veux tout sauf le pédalier triple mais wow comment vas tu faire?
‘Comment on va faire’ peut être résumé par un vidéo que j’ai reçu de Dave.
Mon vélo de Vancouver. 04 février 2020. Read More »
Février se faufile discrètement dans la trainée de Janvier car la similarité imposée et confondante des activités possibles sur une seule jambe n’a guère à voir avec la géographie. De Saint-Fabien à Malmö les jours s’enfilent et se ressemblent.
On enregistre malgré tout quelques premières: une première et unique séance de photo – trépied à la rescousse tout près de la fenêtre, un premier fika au soleil, une première sortie à Vomb, de tout petits bourgeons dans les arbres, des fleurs miniatures au ras du sol et des centaines de vaches relâchées dans les pâturages. Bon. On se dit que le soleil suivra quand le printemps osera se pointer.
Entre-temps je suis fascinée d’apprendre l’épopée fantastique d’un petit colibri mâle qui synchronise sa vitesse de pointe, le son du bourdonnement de ses plumes et l’éclat dynamique de sa gorge irisée afin qu’ils se produisent tous en même temps, juste au moment où il passe au-dessus de la femelle, suivant une plongée vertigineuse, produisant ainsi une explosion sensorielle de signaux pour l’épater! – merci Jennifer Ackderman – WOW! et tout ça se passe sous notre nez à St-Fab! Portons attention! /JD
Pendant que mon corps guérit minutieusement mon fibula fracturé, mon esprit s’attarde, au rythme de mon os en re-construction, sur des pensées un peu philosophiques puisque, alas, ma caméra repose dans son étui. Je réfléchis sur le fait que prendre des photos me rend heureuse. Je prends des photos juste pour moi, une sorte d’ode à l’observation; mon ‘nature journaling’ documenté en album annuel.
De ma fenêtre, j’observe avec curiosité et joie les attroupements autour de la mangeoire. Je regarde le renard, très matinal, qui s’approche et surveille l’écureuil, chacun en quête de nourriture. Je remarque que l’écureuil, lui, défend sa camelote contre les autres écureuils et chasse le pic chevelu dès qu’il s’approche de la mangeoire. Les pics mineurs, quant à eux, arrivent dans le même élan que le pic chevelu, lui laissant par contre priorité au bloc de gras offert, alors qu’ils côtoient sans problème les mésanges à tête noire. Celles-ci arrivent en groupe, et mangent tour à tour, en toute civilité sans oublier de me saluer. chickadee-dee-dee!
De ma fenêtre j’observe la lutte entre le gel et la force de l’eau salée de la mer. La bataille fluctue tout janvier, et dans ce jeu entre le mouvement de l’eau et l’immobilité de la gelée, parfois compliqué par le souffle du vent, des formes étranges aux couleurs changeantes se développent. Je pense aussi à une certaine promenade de décembre, dans la coulée à Blanchette où j’ai observé un phénomène naturel que j’ignorais, si bien décrit par Nan Shepherd: ‘on marche sur ce qui semble être de la neige gelée solide, pour ne trouver qu’une fine croûte croustillante qui cède pour révéler des milliers d’aiguilles de cristaux de glace amassés en colonnes cannelées de quatre à cinq pouces de profondeur.’
A mes yeux, la nature offre des beautés sans fin./JD.
25 mai, Pavane des mignonnets. Read More »
18 mai, Chante mon rossignol! Read More »